Vous souhaitez faire un lifting de l’ovale du visage ? Le centre médico-chirurgical, la Clinique des Houx, regroupe des chirurgiens expérimentés afin de vous garantir une intervention qualitative et professionnelle.
La chirurgie de lifting cervico-facial a longtemps été basée sur la remise sous tension de la peau pour repositionner les tissus ptosés. Malheureusement, cette approche n’a pas démontré de résultat durable: les tissus du visage, un temps trop tirés, se relâchent inexorablement. La peau n’a pas vocation à supporter les tissus ptosés. Il est indispensable, si un résultat naturel et durable veut être obtenu, de repostionner le système musculo-aponévrotique de la face. La peau elle-même, est mieux « réanimée » par l’injection de cellules graisseuses.
La finalité des mini-liftings, micro-liftings,.. est de se servir de la peau comme d’un support et non comme d’une enveloppe. Tirer excessivement sur la peau conduit à un aspect non naturel, tiré, avec des cicatrices élargies, déformation du tragus, déformation des lobes d’oreilles. L’excès de tension cutanée écrase les reliefs plutôt que de les mettre en évidence. Comme la peau est par définition élastique et incapable d’assurer un support profond et durable des structures profondes de la face, les résultats de ce type de procédure ne durent pas.
Il est indispensable, pour assurer un support durable et naturel, de lifter le système musculo-aponévrotique de la face qui, lui, n’est pas élastique. Après avoir repositionné les structures profondes du visage, l’excès cutané est bien sûr retaillé sans tension excessive. Ceci permet d’obtenir des cicatrices d’excellente qualité, à peine visibles.
Un résultat durable et harmonieux, n’est pas possible par l’utilisation de fils de suspension. Ces « câbles » engendrent beaucoup de problèmes chez beaucoup de patients : extrusion de fils, fossettes de traction, mouvements faciaux anormaux, douleurs chroniques, troubles de la sensibilité, … Ces techniques impliquent, à tort, qu’un simple fil de traction localisé, rigide, peut assurer le support de tout un visage de façon souple et mobile. Utiliser le SMAS -système musculo-aponévrotique- de la face permet de respecter et de restaurer les rapports des différentes couches tissulaires de la face d’une façon naturelle.
Le SMAS doit être disséqué au-dessus de l’arcade zygomatique pour avoir un impact sur le tiers moyen du visage et ainsi éviter toute procédure complexe au-niveau de la paupière inférieure. Dissocier la peau du SMAS et disséquer un SMAS « haut », càd au-dessus de l’arcade zygomatique, permet d’éviter l’aspect trop « tiré » devant les oreilles, associé à un manque de correction de la partie péribuccale et des bajoues (« lateral sweep » en anglais). Il est évident que disséquer un SMAS « haut » est plus délicat et prend plus de temps.
Très souvent, il est utile, outre de repositionner les tissus relâchés, de restaurer les volumes perdus avec l’âge, par l’injection de cellules graisseuses. Cette technique, appelée lipostructure,est utilisée depuis plus de 15 ans, et a fait ses preuves : elle permet à la fois de rendre les volumes perdus mais aussi d’améliorer la qualité de la peau.
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